OBJETS DE DECORATION ASIATIQUES

 

BIENTÔT DISPONIBLE

 

Parce que l’Asie, et la Chine en particulier, est le berceau du thé, PÀO CHÁ prolonge l’évasion grâce à une sélection d’objets de décoration asiatiques et de produits issus de l’artisanat local. Nous travaillons avec une équipe d’importateurs qui sillonne tout le territoire à la recherche de pièces originales et typiques : des portraits d’ancêtres, des statuettes en bois ou en porcelaine, des pinceaux à calligraphie, des coffres et des boites, des plateaux…

Les objets rapportés d’Asie sont souvent des pièces en petites quantités. Leur caractère unique nous permet de vous proposer des pièces authentiques, qui se renouvellent fréquemment en magasin.

Que ce soit pour vous ou pour offrir, nos objets invitent au voyage. Un voyage à l’autre bout du globe qui ne laisse jamais indifférent !

Portraits d’ancêtres.

Ce sont des reproductions sur toile également peinture de dignitaires chinois. Ce type de peinture respecte des critères codifiés très stricts. Les portraits représentent une personne dans une posture immobile en tenue de fête (robe et chapeau de mandarin). Souvent seul le visage change réellement d’un ancêtre à un autre et l’expression du visage reste toujours neutre. Les peintres s’attachent à rendre le portrait vraisemblant et souhaitent aussi enjoliver le portrait du dignitaire chinois.

Kakemono.

C’est une peinture sur papier ou sur soie (plus fragile) encadrée en rouleau qui est destinée à être accrochée au mur. Afin de réaliser une belle peinture un chinois a besoin de quatre éléments : un pinceau, du papier, une pierre d’encre et de l’encre en bâton. Pour transformer l’encre bâton en encre liquide il faut frotter le bâtonnet sur une pierre à encre et rajouter de l’eau. Etape difficile, car il faut trouver un bon équilibre entre l’eau et l’encre en poudre.

Calligraphie.

Le pinceau est l’élément clef pour la calligraphie. D’après la tradition chinoise il faut remplir quatre conditions pour avoir des pinceaux à calligraphies de bonne qualité. Les quatre qualités sont : le Sen (une extrémité pointue), le Ken (des poils équilibrés), le Sei (poils alignés) et le En (Bon mouvement des poils). Les premiers pinceaux datent d’il y a 4 000 ans, ce sont les Chinois qui ont inventé le pinceau.

Céramique et porcelaine chinoise.

La céramique chinoise, principalement connue pour la porcelaine, a été inventée en Chine et est un art ancestral, ancré dans le paysage culturel depuis des milliers d’années. C’est à la période du paléolithique final (-17 000 -16 000 avant notre ère) qu’apparaissent les premières poteries avec la population des chasseurs-cueilleurs, dans le sud de la Chine dans les provinces du Hunan et du Guangxi. On suppose que les poteries servaient à la cuisson du riz sauvage. L’évolution vers la porcelaine a commencé très tôt dès la dynastie des Hans (de -200 avant notre ère à + 200) et s’est faite progressivement.

Le jade.

Le jade est une pierre très dure. Il y a huit mille ans environ les habitants de ce qu’est devenue la Chine actuelle polissaient déjà ces pierres fines.  Au cours de la préhistoire chinoise , le jade est devenu une pierre précieuse chargée de propriétés magiques. Dans la symbolique chinoise, le jade était une pierre relative à l’empereur, symbole d’un pouvoir absolu. L’empereur se devait d’arborer un sceptre de jade lors des grandes cérémonies. La Chine est aujourd’hui le pays le plus important dans la production, la fabrication et l’utilisation du jade.

Le cloisonné chinois.

Le cloisonné est une technique pour fabriquer des objets en émail. Cette technique est très présente en Chine. Il s’agit de cerner le contour des motifs à l’aide d’une mince bandelette métallique soudée sur le champ du métal. Les alvéoles ainsi obtenues sont remplies d’émail coloré à l’aide d’une seringue. Le tout est ensuite cuit et poncé.

La poupée Kokeshi.

Issue de l’artisanat japonais, au nord de l’archipel, la poupée en bois Kokeshi a été créée il y a 200 ans. Elle était au départ un jouet pour enfant : on avait sculpté des restes de morceaux de bois en forme de poupée et on y avait dessiné des yeux et une bouche. Puis, vers la fin de l’ère Edo et au début de l’ère Meiji (1853-1868), les Kokeshi se sont développées petit à petit afin de prendre la forme actuelle, et elles ont été vendues aux touristes comme souvenir. De jouet, la poupée est devenue un objet de contemplation pour les adultes. Les Kokeshi sont composées de deux parties : une tête et un tronc. A première vue, toutes les poupées se ressemblent, mais en réalité elle suivent des règles strictes selon les régions japonaises où elles sont fabriquées et selon les particularités de chaque artisan. On les classe en 11 familles. Ces jolies poupées en cerisier, poirier, ou érable… sont offertes, dans la tradition japonaise, pour déclarer son amitié ou son amour à la personne qui la reçoit.