Lumière sur la préfecture de Shizuoka, première région du Japon productrice de thé. Ses thés verts sont reconnus pour leur grande qualité : des thés de montagne à l’étuvage léger.
Le Classique du Thé (茶经 en chinois, chá jīng) est le tout premier ouvrage au monde traitant du thé. Il a été écrit par Lu Yu (陆羽, entre les années 760 et 780.
Dans la famille des thés wulong chinois, les thés des rochers de Wuyishan, dans la province du Fujian, sont fascinants.
On trouve dans le commerce toute une sélection d’accessoires pour le thé : théière, tasses, mugs, bols, zhong (ou gaiwan, bol à couvercle), filtres… Et chaque ustensile, notamment pour infuser, se décline dans plusieurs matières. Il est vrai que chaque thé se doit d’être préparé dans le récipient qui convient : le matériau adapté : […]
Le thé Gong Fu est la préparation traditionnelle des hautes qualités de thés wulong ou de thés pu’er en Chine ainsi qu’à Taïwan où il représente un moment de détente convivial entre amis.
Pour réussir l’infusion du thé, la préparation est aisée si l’on respecte quatre points très simples : la qualité et la température de l’eau, le dosage du thé, le temps d’infusion.
Les thés noirs chinois ont des noms assez évocateurs pour en apprécier la qualité. Mais pour les autres thés noirs d’autres pays, le grade est important. Il renseigne sur la finesse de la cueillette et la taille des feuilles.
L’intérêt pour les effets et propriétés du thé en matière de santé est notable, et ceci depuis sa découverte par l’empereur Shennong qui testa sur lui-même ses propriétés. On lui attribue l’introduction de la médecine, de l’acupuncture et de la phytothérapie ; il développa également l’agriculture. Il fut l’auteur du Traité des Plantes Médicinales, l’un des fondements […]
Tous les thés proviennent du même arbre, le camellia sinensis. Mais on classe les thés en six familles (six couleurs) en fonction du processus de transformation des feuilles.